Nature.
Culture.
Aventure.
Au-delà de la rime, ces trois mots si vastes en termes de sens, constituent le socle « éditorial » du FIFAV. Un fourre-tout alors ? Non. Plutôt l’aubaine d’un éclectisme qui a fait ses preuves au regard de l’engouement du public pour le festival ces dernières années. Trois mots qui se nourrissent mutuellement, qui se fondent, se confondent pour tenter de porter un autre regard sur le monde.
L’aventure ? Un prétexte, un moyen. La nature ? Un socle, devenu enjeu, une fin. La culture ? Un univers de création sans limite, une aventure en somme. Le tout ? Un écosystème, un environnement en mouvement qui permet au FIFAV (comme à bien d’autres festivals), de partager des histoires à travers des œuvres allant d’une esthétique à l’autre : film, livre, photographie, etc. Le dénominateur commun ? L’humain peut-être. Partager, découvrir, sensibiliser, transmettre. Le FIFAV est un bateau dont les hublots ouvrent sur bien des horizons…